» Explorer » Restaurations récentes
La restauration a eu comme objectifs de redonner de la lisibilité à l’œuvre, de combler les lacunes et d’améliorer la tension de la toile. Le retrait du vernis a permis de redécouvrir de nombreux détails. Les repeints liés à d’anciennes restaurations ont été enlevés, laissant apparaître une palette de couleurs très étendue. Les soulèvements de la couche picturale dus à la mauvaise tension de la toile ont été consolidés et les lacunes ont été également comblées.
La restauration de cette toile a été effectuée par Maud Zannoni, avec le soutien de la DRAC Grand Est.
Ce tableau a été restauré afin d’améliorer sa lisibilité et permettre sa présentation au public dans le cadre de l’exposition temporaire « Voyage(s) » (2 juin – 31 octobre 2021). Le vernis oxydé a été retiré ce qui a ravivé le clair-obscur entre le fond et la violoniste. Avant l’application d’un nouveau vernis, les lacunes picturales ont été comblées de manière illusionniste. L’œuvre a également été renforcée par l’ajout d’une toile synthétique à l’arrière.
La restauration a été menée par Igor Kozak et a été soutenue par la DRAC Grand Est.
Ce grand format (2,46m x 1,71m) a été restauré afin d’être présenté dans l’exposition temporaire « Voyage(s) ». La couche picturale présentait d’importants soulèvements qui ont été refixés. Les lacunes ont été comblées de manière illusionniste. Le châssis a été renforcé. Enfin, l’éclaircissement du vernis a permis de redécouvrir les couleurs originelles.
La restauration a été menée par Igor Kozak et a été soutenue par la DRAC Grand Est.
Ces deux œuvres ont été restaurées afin d’être présentées dans l’exposition temporaire « Voyage(s) » (2 juin – 31 octobre 2021). La fragilité du support avait provoqué des déchirures, des lacunes et des déformations qui ont été traitées.
La restauration a permis de mieux connaître les techniques mises en œuvre et, par suite, le contexte de création. Ces deux dessins à la tempera (peinture à l’eau, proche de la gouache) ont été réalisés sur un « papier de riz » ou pith paper, un matériau fabriqué en Asie à base de fines lamelles d’un végétal appelé Tetrapanax Papyriferus. Ce matériau a été couramment utilisé au milieu du XIXe siècle en Chine, notamment pour les dessins souvenirs destinées aux voyageurs, représentant des paysages ou des scènes de genres.
La restauration a été menée par Armelle Poyac et a été soutenue par la DRAC Grand Est.
La restauration a été menée par Lise Bastardoz et a été soutenue par la DRAC Grand Est.